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3 juil. 2014

Algérie Des Années '90 : Le Fardeau De La Dette, L'Ingérence Des Banques Étrangères, Et Les Politiciens Complices !

Reporté maintes fois dans ce blog est le rôle suspect des politiciens impliqués dans la gestion économique et financière du pays qui durant la décennie 1988-98 sombra dans une crise sans précédent et frôla la catastrophe généralisée, politique, économique et sociale. La stratégie des banquiers talmudes pour le contrôle de la planète est axée essentiellement sur la dette et donc l'usure. Pour cela, les banques recrutent des agents locaux, principalement des politiciens qui influent sur les décisions et les orientations adoptées définissant les relations et les accords liant le pays aux banques juives, piliers de l'hégémonie des Illuminati.
Confirmation par un important acteur de la Banque Mondiale :
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(Lien)(traduction) «Karen Hudes est diplômée de la Yale Law School et elle a travaillé dans le département juridique de la Banque mondiale depuis plus de 20 ans. En fait, quand elle a été congédiée pour avoir dénoncé la corruption à l'intérieur de la Banque mondiale, elle occupait le poste de conseiller principal. Elle était dans une position unique pour voir exactement comment les élites mondiales gouverner le monde, et les informations qu'elle révèle maintenant au public sont absolument choquantes. Selon Hudes, l'élite utilise un noyau très serré d'institutions financières et de méga-entreprises pour dominer la planète. Le but est le contrôle. Ils veulent nous rendre tous esclaves de la dette, ils veulent que tous nos gouvernements soient asservis à la dette, et ils veulent que tous nos politiciens deviennent accro (addictes) des énormes contributions financières canalisées dans leurs campagnes. En plus l'élite possèdent également toutes les grandes sociétés et agences des médias, et ces médias de masse ne nous initient jamais dans le secret de la chose à savoir combien radicalement néfaste est la manière dont notre système fonctionne.»
Remarque : Tous les politiciens complices impliqués dans le complot des banquiers pour la mise en esclavage du pays et sa soumission totale au diktat de la dette et de l'usure sont toujours en activité ! Preuve que leurs agissements sont contraires aux intérêts nationaux, agissements qui selon l'optique adoptée peuvent être assimilés à de la haute trahison, est révélée par leur opposition virale à la politique d'indépendance économique et financière menée depuis 1998 et l’ère Bouteflika ! Aujourd'hui tous dans l'opposition et tous ménagés par des média aux intentions insondables qui ne rappellent jamais leurs délits et leurs méfaits. Que penser d'eux, sauf que leur impudeur excède de beaucoup le caractère de leurs maitres banquiers, la Chtuzpah !
Hypothèse complémentaire élucidant l'omerta qui entoure l'histoire véridique et les malversations de cette nébuleuse de la trahison, leur parfaite subordination aux directives instruites par la franc-maçonnerie internationale, l'organisation qui est une étape et un tremplin de leur ascension, promotion et maintien sur la scène politique.
Un petit jeu consiste en un recensement de ces politiciens véreux, vrais prédateurs et flibustiers qui ont pillé le pays, et qui sillonnent le terrain sous différent déguisement, hier sous celui du socialisme spécifique, aujourd'hui celui du libéralisme économique et qui brandissent le slogan de "lutte contre la corruption " ! Un brève survol de la scène politique suffit à les repérer, leur trait commun est celui attribué à.....Judas !
   

16 juil. 2012

Guerre Tranquille Et Armes Silencieuses : Éducation Détournée Et Pillage Organisé.

Mr Chitour aborde certes le thème de la déliquescence de l'éducation en observateur critique et en professionnel averti (Lien). Ses propositions sont instructives et pertinentes concernant la revalorisation des matières scientifiques Maths + Physique, et des formations ingénieurs et techniciens. Mais il esquive très diplomatiquement la confrontation avec la hiérarchie en ignorant les vraies causes et solutions au problème. Car c'est au sein de sa structure qu'il pourrait aider à dénicher les responsables de la destruction programmée et planifiée de l'éducation. Ceci n'est pas particulier à l'Algérie, des militants engagés, de part le monde, dénoncent le NOM juif et démontrent que cette opération de dévalorisation du contenu des programmes et de dépréciation du système éducatif n'est ni fortuite, ni accidentelle, ni aléatoire, mais relève d'un agenda dicté par la Juiverie/Franc Maçonnerie en guerre contre le reste de la population des tubes digestifs de la planète. 
Pourquoi Mr Chitour hésite-il à débattre des questions de fond en se limitant aux apparences et aux spéculations, là où son expérience et son ancienneté lui permettent d'en élucider les vrais causes ? 
Il le dit de manière claire en faisant allusion dans un article de "Liberté" à ajouter à son crédit de pédagogue, peut être à son intégrité morale et professionnelle, “Nous formons pour la France” :
«Or, avec la mise en place de la sélection par ordinateur, on a eu tendance à faire croire aux jeunes bacheliers qu’il peuvent choisir en toute liberté. Je pense que le recours à cette méthode est une erreur.»
L'orientation par ordinateur est un désastre sur tous les plans et une dilapidation de ressources et de talents.
J'ajouterais : l'ordinateur est un paravent à la malveillance des forces occultes qui contrôlent la bureaucratie de l'enseignement. La situation est bien plus grave, on fait face à des criminels qui se sont introduits avec ou sans la connivence de ministres souvent incompétents ou complices. L'administration qui dirige de facto s'est déchargée de ses responsabilités et obligations d'éducateurs en se dissimulant derrière l'outil informatique et faire croire que le travail d'orientation se fait équitablement et objectivement. 
-Parce que la "machine n'a pas de parti pris et ne ment pas". 
-Faux ! La machine ne produit que ce que le programmeur exige d'elle ! Or les paramètres et données choisis par ces délateurs sont partiels et partiaux, arbitraires, et illégitimes ! On ne peut scientifiquement et objectivement évaluer les performances d'une scolarité couvrant 12 ans d'étude en se basant sur un examen et les notes accolées à 6-10 matières, lorsqu'on sait les conditions particulières traumatisantes résultat du conditionnement excessif et de la pression psychologique sociétale, qui relève de la démence  ou du sadisme, exercée sur les candidats avant le baccalauréat
Le baccalauréat est un test parmi une multitude imaginable d'autres outils d'évaluation. La colonisation nous a légué un Frankenstein qui n'existe nulle part ailleurs ! (voir Wikipedia, Lien et Lien)     
Étape suivante de cette cabale est le gâchis opéré une fois obtenu l’accès à l'université où l'étudiant est soumis à un barrage d’agressions multiples et d'obstacles souvent insurmontables. Il endure des injustices indéfendables et des pratiques inqualifiables! La fin justifiant les moyens, le diplôme est un démon a qui il faut tendre des offrandes et faire des concessions :
Copinage, favoritisme, régionalisme, paternalisme/mandarinat administrateurs/enseignants siégeant en tyrans implacables, sans conscience car nombreux ces enseignants qui ont troqué leur âme à l'idole de la science/connaissance. 
Le paternalisme et l'abus d'autorité brutalisent ces jeunes innocents et les poussent vers des choix extrêmes aux conséquences imprévisibles :
-le reniement total de leur citoyenneté et la préparation pour le départ en exil.     
-l'engagement impulsif dans le nihilisme politique ou l'anarchisme, ou l'adhésion à des idéologies sectaires, arabophobie/islamophobie (MIK-MAK), le djihad/Wahhabisme (dont les agents sillonnent les cités universitaires), le marxisme révolutionnaire illusoire, etc..
-les stigmates indélébiles marqueront des générations de jeunes algériens dont la rancune est le gage de leur démobilisation de tout projet social et de leur désengagement civique.   
-la corruption morale qui se répand  est l'incitation à la débauche d'innocentes victimes leurrées par la façade brillante de l'université que la vermine humaine infiltrée en son sein a pourrie. 
-Dépravation de l'institution (universités et écoles supérieures)est pointée du doigt dans les articles (Lien, Lien) de ce blog, y ai fait allusion et en révélant la présence de la Franc Maçonnerie satanique à Tlemcen, dans le cercle VIP de nos chantres de la littérature (Lien et Lien) 
Traumatisés et trahis, les jeunes étudiants sont poussés au bord du désespoir et voient leurs ambitions dégénérés en cauchemar !
Un exemple édifiant :
L'explosion de gaz à l'université de Tlemcen, qui a tourné en drame, avec le décès d'une douzaine d'étudiants. La réaction des ministères, des services publiques concernés et de ceux touchés par la tragédie a été exemplaire. Les déclarations de Hachemi Djiar rassurantes : « cet accident, qui a coûté la vie de nos enfants ne passera  pas sans punition ».
-Wait and see ! Ou disons "Chiche"  !
Présent sur les lieux quelques heures après l'incident, j'étais en mesure de constater la grande motivation des autorités à réparer cette catastrophe, avec compassion et un sens élevé du devoir d'entre-aide et de la solidarité. Les commentaires des hauts responsables, les moyens gigantesques mobilisés, signalent la mise en pratique de nouvelles mœurs de gestion qui les honorent. 
Mais suivra l'enquête et apparaitra sur scène le pouvoir occulte liant la magistrature et le corps universitaire (Rotary, Maçonnerie), un précédent est signalé sur le web à propos de "l'Affaire Maison de la culture Mohamed Dib. (Lien
Le cas d'El Khalifa en est un autre; ici en Algérie, et en Angleterre où Abdoulmoumen s'est refugié, la "fraternité" le couvre, son père en était membre, fonctionnaire à la présidence de la République !
Constat personnel à Tlemcen:
Des échanges de vue avec quelques étudiants ont été édifiants.
Ils dévoilèrent des aberrations dans la gestion de l'université inacceptables dans les prémices de ce temple de la pensée et des sciences et traduisent un fait alarmant : l'université a été détournée par des forces malveillantes parasitaires qui s'attachent à la détruire et à démobiliser les étudiants qu'elle devait servir.
 Deux catégories d'étudiants échappent à cette règle : les enfants privilégiés et ceux de la "fraternité".  Peut être quelques génies à la carapace de tortue qui surmontent les obstacles dressés devant eux et décrochent un diplôme !
-les premiers sont inscrits en majorité à "l'École préparatoire en sciences économiques, commerciales et sciences de gestion", une porte sur le marketing (kabala juive), pour assurer la relève dans le business et la gouvernance économique en Algérie, en prévision de l'instauration intégrale du NOM;
-les seconds, diplômés sont un capital humain pisté et signalé aux universités étrangères et vendu au plus offrant ! Un marché parallèle rentable d'esclaves que les recruteurs locaux (siégeant dans les directions de faculté) négocient en échange de "friandises" en espèces versées à l'étranger sous formes de services.  Manière sûre de vider le pays de ses ressources humaines et éliminer toute concurrence aux "enfants à papa" de l'élite maçonnique qui seront parachutés au bon poste, convaincus de leur bon droit à gouverner le monde !
 Ceci pendant que nos jeunes diplômes sont leurrés par l'Éldorado occidental et cajolés pour rejoindre les loges françaises et canadiennes de la caste des enfants de Satan !
Quelques faits alarmants :
-Le stress vécu par des jeunes adultes (âgés de 18 à 20 ans) cause fréquemment des défaillances physiques certaines : le diabète, l'hypertension, les risques cardiaques aigus. Drainant des nouveaux inscrits à la sécurité sociale, bénéficiaires d'une carte "Chiffa" d'invalides souffrant de maladie chronique ! Les statistiques médicales disponibles sont choquantes. 
-l'injustice infligée aux bacheliers algériens, ceux dont la note moyenne au bac dépasse les 14/20 et qui ont suivi au lycée des cours principalement en Arabe et une moindre maitrise du Français, sont subitement, sans préavis, confrontés à un cursus entièrement francophone ! Aucune aide ne leur est offerte pour les assister à opérer cette mutation linguistique brutale. Froidement et sans remords, ils rayés des effectifs. Ceux qui ont eu la "chance" de maitriser la langue ou ont opté pour ce choix par conviction culturelle ou politique (les égarés de l'amazighité) survolent plus facilement les épreuves.
Remarque :
Les "chers frères" qui ont conçu ce schéma crapuleux doivent se réjouirent de leur habilité à confondre le commun des moutons. Avertis ils ont eux rodé leurs enfants à la pratique du français, grâce à la "fraternité", l'entre-aide internationale, les échanges culturels et l'accueil à l'étranger.
Conséquence immédiate, durant les 1ère-2ème-et-3ème année le niveau de la déperdition et l'abandon des cours est alarmant, une situation qui ne semble mouvoir ni les responsables directs de l'administration, ni la tutelle.
Les moyens/ressources colossaux dédiés à assurer l'avenir de la nation sont dilapidés.
Dés l'annonce de l'accident l'anarchie au sein de l'administration universitaire qui suivit est révélatrice de l'insouciance qui y régnait, vu que les fuites de gaz dans le resto avait été signalées sans effet et aucune mesure ne fut prise pour éviter le pire. L'égoïsme d'autres  responsables furent exposé au grand jour, abusant carrément des budgets d'étude, pratique qui entache la gestion du staff en charge, à l'image du Pr Benhabib directeur de l'école qui sollicité pour avis urgent était introuvable, plus précisément à Boston (USA) ! Et ceci en plein phase d'examens de fin d'année ! S'initiait-il à quelque formule incantatoire de la Kabale talmudique qui aller révolutionner la science du management à l'école ?  Le crypto-juif s'initiait-il à un nouveau degré de la "hiérarchie" ? 
Certaines carences sont indéfendables.
 Exemple de ce professeur de " comptabilité " en 1ère année d'économie/commerce/gestion, qui lors d'une révision des corrigés d'exercices abordés durant les Travaux Dirigés de toute l'année 2011-2012, s’aperçut que les solutions remises aux étudiants par l'assistant en charge étaient TOUTES fausses. À trois jours de l'examen !
Le professeur repris les exercices, tache qu'il aurai dû accomplir régulièrement durant l'année, pas tardivement au mois de Juin. Il colmata le navire en détresse avec quelques heures supplémentaires pour la correction ! Ceci ne peut pas réparer  l'infamie première du recrutement de l'assistant, sans aucun doute quelque fils à papa ("cher frère") recruté par téléphone ! 
Les étudiants déroutés étaient incapables de redresser la barre à cause du peu de temps disponible, et ils ne reçurent même pas des excuses ! Loin d'eux l'espoir que ce Ramsés II de la comptabilité aille les rassurer et leur jeter une bouée de sauvetage, sous forme d'un réaménagement de l'emploi du temps ou carrément d'un report de l'examen ! L'échec dans la matière "comptabilité" les vouant à l'exclusion de cette débauchée d'institution qu'on surnomme "Haute école" ! Tans pis pour eux ! Qu'ils sauvent l'année ou qu'ils se noient, il n'est pas dans les prérogatives de ce pharaon de faire de l'humanitaire, ou même de la pédagogie.
Imaginez l'état de ces jeunes filles et jeunes garçons juste sortis de l'adolescence, qu'on a  trimbalés d'un bout à l'autre du pays, la majorité sont issus de wilayas éloignées et ont enduré les supplices du voyage  (600 à 2200 km parcourus,  6 et même 12 fois en une année) ceci au nom de réformes pseudo-élitistes soufflées par quelque talmudipède de Boston dans l'oreille de nos Terminators de l'enseignement. Dans notre exemple ci-dessus, nos étudiants poussés au désespoir par faute d'un assistant incompétent et d'un professeur négligeant, trouveront-ils un moyen de défense légitime contre le système d'éducation qui les broient  !
Autre déconvenue : les bourses d'étude n'ont été versées qu'au mois de Mai ! 
C'est dans cette atmosphère de violence et d'agression psychologique, et après un parcours de commando, que survivront quelques rescapés de l'épreuve finale.  Meurtris dans leur chair et chargés de rancune envers "le système", système qu'ils confondent avec "gouvernement", "pays", "Bouteflika", etc...
Le travail de sape conduit adroitement par l'ennemi de l'intérieur aura atteint ses objectifs. Le diplômé/survivant est alors psychologiquement "cuit à point" pour subir une dernière manœuvre pernicieuse : son transfert vers l'étranger dans la joie et la délivrance. Comptons combien de nos jeunes pleins d'enthousiasme à l'idée d'étudier et de réussir, ont subi ce travail de sape programmé, organisé, et planifié ! Ils sont des centaines de milliers, et celà dure depuis des décennies !
-Les causes ?
-Les loges et obédiences tiennent les rênes du pays, et de l'éducation !
Mr Chitour fait peut être, de manière très diplomatique et sans le précisé, allusion à ce travail subversif de destruction lorsqu'il lance son cri de détresse : «Nous formons pour la France» (Lien). Si c'est le cas, cet article devrait lui valoir une décoration pour mérite professionnel et patriotisme si seulement son message parvenait à sa tutelle ou à quelqu'un en haut lieu venait à l'écouter. Mais son appel ne trouvera aucun écho chez les mêmes responsables, qui tous ou en grande partie, sont engagés dans l'agenda maçonnique de subversion/ guerre secrète contre le pays!
Conclusion :
Je conteste certes quelques pensées/idées du professeur sur d'autres sujets qu'il reprend dans ses publications ou ses déclarations médiatiques qui meublent son parcours littéraire mais  sa dénonciation des carences du système éducatif, pièce maitresse de l'édifice national, est louable.
En réalité, les outils de sabotage,  "oxymorés" et présentés sous l'appellation de "méthodes scientifiques de classement et d'orientation", s'avèrent être un fléau.
Les Harkis illettrés qui s'engagèrent dans l'armée française font figure d'enfants de chœur en comparaison à ces mercenaires au service de la franc maçonnerie internationale !  
Répétons-le : les difficultés lors de l'orientation deviennent insurmontables et sont cause d'un gaspillage indescriptible et d'une injustice monstrueuse. Présentées par les tenants de la politique du mandarinat et de l'élitisme/suprématisme comme un tamis de sélection conçue pour élever le niveau et la qualité de l'enseignement supérieur il est en fait la source première de déperdition, d'exclusion sociale, de démobilisation, et de la plus ruineuse gestion de ressources humaines. L'éloignement résidentiel pénible, les désagréments physiques et moraux, la fatigue et le stress, ruinent les capacités d'adaptation du candidat et l'éloignent de son objectif. Ceci s'ajoute à la frustration d'une vocation rêvée non achevée par faute d'un logiciel non performant et de critères d'évaluation arbitraires. 
Conséquence immédiate est l'exil de nos plus brillants étudiants, et la déperdition de ceux aussi brillants qui ne parviennent pas à surmonter le barrage de la bureaucratie et du harcèlement pédagogique.  Une hémorragie causant à notre économie des pertes nettes d'un montant exorbitant.
Pointons du doigt la complaisance tacite des responsables de l'administration devant la fuite des cerveaux. Des licenciés et ingénieurs talentueux au potentiel exceptionnel sont livrés aux universités européennes et américaines, à la recherche et à l'industrie des pays développés. Ce pillage s'opère souvent en connivence avec les chargés d'étude, vrais "chasseurs de têtes" rétribués pour les "grosses prises" par le versement de commissions diverses, des invitations aux conférences, des voyages d'étude, et même des rançons en banque ! Et j'assume ce que je déclare, pas uniquement au niveau des universités, mais également au niveau d'institutions privées liées aux fondations américaines et européennes. Voir pour confirmation un échantillon de ce maraudage/pillage avec la complicité de MDI-Business School à l'article dédié à la manigance du marketing/management (Lien /article suivant) 
Le pillage à ciel ouvert !
Un Avant-goût de l'attention humanitaire réservée à nos futures managers. Un trafic humain pratiqué au vu et su de tous, avec la complicité de nos média, dont le plus perfide "El Watan" publie un article intitulé " Un émigré sur deux est une femme ", de la plume de Nordine Grim (Lien). Le criminel déclare: «L’insécurité, qui avait prévalu en Algérie durant les années 1990, et la mauvaise gouvernance du pays, qui en avait suivi durant la décennie 2000, feront exploser le taux de féminisation de l’émigration qui passera d’environ 36% en 1982 à 51% aujourd’hui, selon ce même institut. Le même phénomène serait perceptible au Québec, selon la sociologue Myriam Hachimi Alaoui, qui a publié à ce sujet une intéressante étude dans la revue NAQD (n°28). Selon l’auteure qui y a effectué des investigations très poussées, le Québec est devenu une terre d’asile pour des milliers d’Algériennes pour la plupart hautement diplômées et politiquement impliquées dans divers processus de lutte, fuyant seules ou en famille les persécutions des islamistes et, dans certains cas, des services de sécurité algériens»
Islamistes ? Services de sécurité ?
La vérité est que le trafic est opéré dans un cadre organisé, un réseau maffieux  inscrit aux oeuvres charitables d'organisations caritatives ou éducatives. La preuve de nocivité du harki Grim est qu'il est membre professionnel de MIDI-Business School !! 
(Photo ci dessus)
Liste de bienfaiteurs qui militent pour l'excellence !  Ferhat M'Henni, un membre compromettant, et visiblement compromis, a été exclu de la liste.

Photo ci-dessus :
Les liens étrangement et exclusivement étrangers, sont listés en référence ci dessus. Cadre indigène s'abstenir !

Les cerveaux appâtés par le leurre des bourses, des échanges scientifiques, des stages de perfectionnement, des emplois dans la recherche, etc..., fuient la fournaise en rejoignant des cieux meilleurs sous lesquels les maquignons des sciences et de la technologie les guettent pour les étriller. Les offres d'emploi à MDI-Business proviennent de partenaires.  Lesquels ? Jugez vous même (photo)
   
Comment ne pas s'interroger de l'attitude équivoque de l'administration et du ministère devant l’hémorragie des compétences, de la mauvaise gestion des infrastructures sociales,
de l'arbitraire et du despotisme incontrôlé caractérisant nombre d'enseignants qui violent impunément toutes les règles pédagogiques élémentaires et font souvent de la querelle personnelle leur vertu, et des représailles leur vendetta ?
 Pourquoi aucune mesure préventive n'est envisagée pour mettre un terme à ce pillage et protéger nos jeunes de la souricière tendue par la franc maçonnerie internationale qui les embrigade dans leurs rangs et les détourne de la participation au progrès national ?
La destruction programmée de l'école et de l'université est un acte de guerre contre la nation. N'est-ce pas là un sujet de dissertation enrichissant que Pr Chitour pourrait développer et publier chez "mondialisation.ca", au risque de déranger le sérail et les "compagnons"  ?
   
                                                                       (A Suivre)....
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Chems Eddine Chitour et ses 50 ans d'errance.

L'Algérie du XXIe siècle : Un demi-siècle d'errance
 Chems Eddine Chitour   Lien
«A l'Indépendance, nous étions tout feu, tout flamme et nous tirions notre légitimité internationale de l'aura de la glorieuse Révolution de Novembre. La flamme de la Révolution s'est refroidie en rites sans conviction, pour donner l'illusion de la continuité. L'Algérie actuelle, qu'est-ce- que c'est? Un pays qui se cherche, qui n'a pas divorcé avec ses démons du régionalisme, du népotisme? Qui peine à se déployer, qui prend du retard, qui vit sur une rente immorale car elle n'est pas celle de l'effort, de la sueur, de la créativité? C'est tout cela en même temps! Le pays s'enfonce inexorablement dans une espèce de farniente trompeur tant que le baril couvre notre gabegie. Après, ce sera le chaos.
Cinquante ans après l'Indépendance, nous n'avons plus le droit de continuer à diaboliser les autres et les rendre responsables de notre gabegie actuelle. Si le devoir d'inventaire est toujours d'actualité avec l'ancienne puissance coloniale, nous ne pouvons pas l'incriminer chaque fois que nous échouons dans la plus pure tradition de la théorie du complot. Si complot il y a, c'est que notre «défense» était poreuse, nous n'avons pas été à la hauteur. Pourquoi? Pourtant la guerre de Libération a été pour nous une source de ressourcement. Le grand tort est que nous n'avons pas su prendre les virages rendus nécessaires par l'évolution rapide du monde.»
Cet article à "www.mondialisation.ca", de la plume du Pr Chems Eddine Chitour, a provoqué un sursaut d'orgueil en moi face à la diatribe que l'auteur lance contre le "système" en confondant les phases historiques distinctes couvertes par l'Algérie depuis l'indépendance.
L'auteur, dont les travaux étoffés et recherchés révèlent des connaissances multi-disciplinaires certaines, pèche par sa précipitation à généraliser uniformément un constat mitigé de la gestion du pays durant 50 ans de gouvernance, indépendamment de la politique en vigueur pour chaque période. Ceci entraine une mutilation de la vérité à travers des analyses et des opinions qui s'avèrent donc souvent biaisées et subjectives. Tout le monde est libre d'écrire ce qu'il juge répondre à ses convictions ou à ses desiderata, mais lorsque son envergure médiatique de journaliste ou d'écrivain s'étend au delà de son lectorat direct local, sa notoriété l'érige en figure publique et l'expose à la critique.  Avec quelque regret je réclame ce droit, tout en espérant ne pas en abuser.
Tout chercheur qui aborde autant de thèmes et de sujets liés à une multitude de domaines spécialisés de la politique-économie-histoire-sociologie-anthropologie-religion-géostratégie-analyse prévisionnelle- et même divinations (sic) s'expose à l'égarement, au sophisme, et finit par heurter un écueil qui saborde son navire. Ceci en dépit de sa perspicacité et de son intelligence.
Ce qui nous amène à affirmer que par excès d'enthousiasme l'auteur finit souvent par laminer les règles d'objectivité et de cohérence que son esprit "scientifique" devrait soutenir comme prémisse à toute affirmation. 
Comme exemple, la confusion qu'il introduit dans la présentation des étapes historiques distinctes caractérisant les changements enregistrés en Algérie depuis 1962, ce qui le point de rupture de sa démarche car la partialité de son approche uniformisant et généralisant un bilan des années 1962-1979, de 1979-1999 et de 1999-2012, est contestable sinon catégoriquement réfutable.
Même solidement perché sur une tour d'ivoire professorale, il ne suffit pas de déverser un flot de détails puisés dans l'océan des données multiples disponibles dans l'univers de l'édition et des média pour défendre des idées authentiques et éviter de sombrer dans le pédantisme stérile.
Ma remarque ne se veut pas désobligeante, elle est destinée à éclaircir le flou qui règne dans la vue du professeur Chitour cause d'un grave préjudice dans l'analyse de la situation générale du pays en dévalorisant les acquis authentiques enregistrés depuis 1999 grâce à une nouvelle forme de gouvernance.
L'auteur observant la scène avec dédain et dissertant avec une pitié pieuse ("horreur sacrée") sur le thème d'actualité : "les 50 ans d'indépendance de l'Algérie". omet de préciser les origines des carences qu'il énumère : à savoir le socialisme frauduleux du Zaim Boukharoba. Ce dernier prit le pays en otage après les coups d'état de 1963 et 1965, en suivant une démarche qui aujourd'hui ferait cas d'école dans les Yeshiva. Comme un classique de la duperie politique et historique pour avoir servi à  l'instauration d'un pouvoir totalitaire et despotique fondé d'abord sur la démagogie et le populisme, et ultérieurement, sur la légitimation de l'oppression et de la violence . Même les techniques et méthodes professées dans le Talmude ne peuvent prétendre à des résultats aussi visibles, dans un laps de temps aussi réduit, dans la transfiguration globale d'une nation et dans son aliénation sur les plans idéologique/culturel/ religieux/économique/social. La manipulation à grande échelle d'une population naïve fut certes aisée au vue de l'ignorance héritée des ténèbres du colonialisme et de l'illusion que l'indépendance acquise était l'ultime accomplissement d'une nation.  Mr Chitour ne dissimule pas sa ferveur pour la politique des années de la révolution socialiste, signalant en lui sans doute des stigmates ou séquelles du travail d'intox subi dans les camps de volontariat estudiantin (note/*). Les fantasmes et la ferveur révolutionnaires exaltés par les discours du guide de la révolution d'alors, mystifiant un peuple crédule et convaincu de la grandeur de sa nation au point de croire, à travers les discours provocateurs du Zaim, de son invincibilité militaire face à l'impérialisme américain (sic) !  La guerre du Vietnam offrant l'occasion au maitre de la "Mecque des révolutionnaires" de hausser son prestige sous l'oeil complice de Kissinger qui en bon talmudipède se réjouissait du travail destructeur que le socialisme insufflait dans les valeurs authentiques ancestrales du peuple algérien, en l'aliénant grâce aux utopies marxistes.
L'illusion de l'utopie tiers-mondiste, folie des grandeurs de lilliputien, soigneusement entretenue par celui qui dans le monde réel du business, entretenait des relations privilégiées avec l'Oncle Sam (via son courtier Zeghar et les  "économies" investies à New York, à savoir les retombées des "contrats du siècle" Boeing / El Paso). 
Note : Sur ce dernier point, "contrat du siècle" liant la Sonatrach et El-Paso (USA) pour la livraison de gaz naturel, une remarque sera accolée au texte à venir lors du survol de la biographie de Boukharoba. (Lien)
Le bilan discutable que le Professor Chitour dresse de la situation du pays ne fait qu'amplifier les voix de la chorale des pleureuses qui occupent le devant de la scène en se lamentant sur le modèle de développement économique dépendant excessivement des hydrocarbures. Les oiseaux de mauvaise augure utilisent
péjorativement le terme "rente", un euphémisme que les  avocats du Stakhanovisme  communiste rabâchent pour aborder le thème des richesses naturelles, fruits de la bénédiction divine qui submerge l'Algérie.  Sur la lancée il confirme son adhésion aux hallucinations benbitouriennes, dans «Quelle est la situation en Algérie? (Lien) : «On dit souvent que le pétrole est une malédiction pour le peuple algérien. A plus d’un titre, nous allons montrer que ce n’est pas faux. En effet, depuis 1971, nous avons extrait du sous-sol environ 2 milliards de tep, qui ont été responsables à des degrés divers d’une pollution de 4 milliards de tonnes de CO2 qui stationneront dans l’atmosphère encore pendant 120 ans.»
L'auteur souffrerait-il de sado-masochisme en s'infligeant de l'auto flagellation ? Ou sombrerait-il carrément dans le nihilisme lorsqu'il déclare ? 
«...qui vit sur une rente immorale car elle n'est pas celle de l'effort, de la sueur, de la créativité.»
Exercice de purification du péché de la rente.
Ou encore :
 «..qui fait de nous des handicapés moteurs et mentaux au point qu'il ne nous reste que deux neurones, ceux qui nous permettent de coordonner nos gestes pour nous nourrir de nourriture imméritée car elle est volée à la nature et surtout aux générations futures à qui il ne restera rien.» 
La réfutation de l'hystérie de la pénurie : Le pétrole n'est pas un composant fossile non-renouvelable !
C'est ce qu'affirment et défendent d’imminents scientifiques qui, données et relevés en main, expliquent la formation des hydrocarbures  : 
(Lien1) «La théorie abiotique affirme, en revanche, que les hydrocarbures sont naturellement produits sur une base continue dans le système solaire, y compris au sein du manteau de la terre. Les partisans croient que le pétrole suinte à travers les fissures du substratum rocheux et se dépose dans les roches sédimentaires. Ils disent que les pétro-géologues traditionnels ont confondu la roche  source/émettrice avec le dépositaire/récipient d'hydrocarbures
 (Lien2NASA découvre que le pétrole n'est pas un combustible fossile. Le "pic pétrolier" confirmé comme étant un canular»
Une recherche sur Google confirme la controverse. Les voix fusent des universités/laboratoires/bureaux d'étude pour dénoncer le canular du "peak oil" que les compagnies pétrolières propagent en s'appuyant sur l'hypothèse spéculative que les hydrocarbures résultent de la décomposition de dépouille de dinosaures et d'anciennes forêts ! Très dérangeant pour les oracles du malheur qui prédisent la pénurie et se lamentent sur notre sort   ! 
Un leurre et une fraude qui rejoignent les canulars défendus par le cartel des compagnies pétrolières US, propriétés des maitres de l'oligarchie talmude (NOM). Nos perruches de l'opposition répercutent l’irrecevable, qu'il ait trait aux changement et réchauffement climatiques, à l'émission de CO2, au mythe juif de la Shoah/Holocauste, à la démocratie de façade sous contrôle Talmude/Maçonnique, aux égalités et libertés utopiques laïques brandies comme illusions destructrices des fondations saines de la société, etc.. . 
Professor Chitour, expert en énergies fossiles, devrait donc modérer son pessimisme et mettre un terme à ses ruades contre la politique actuelle de l'énergie qui est accusée de spéculer sur l'avenir de nos enfants. Son cursus de formation semble s'être flétrie et sa mission éducative détournée au profit de propagande économique élaborée par les maitres de l'imposture, les tenants du NOM Juif/Talmude, lesquels prêchent pour un "pic des hydrocarbures". Un recyclage s'impose à lui en priorité pour sauvegarder sa carrière, et une simple recherche sur Google servirait de bon départ à sa repentance scientifique.  Celà  s’accompagnant  bien sûr d'un peu de modestie et de l'abandon des "séances" divinatoires sur l'avenir de l'Algérie, imprégnées de "l'illumination" du discours apocalyptique benbitourien  ! 
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Remarque concernant les grandes escroqueries   :
Les relations/affinités entre les maitres talmudes et leurs idiots utiles ont débuté et atteint leur apogée durant l'ère Boukharouba. Les contrats El Paso et Boeing, les plus documentés, ne sont que la tête de l'iceberg. La farce des 4000 DA découvert dans son compte CCP, seule richesse léguée par le Zaim, est un canard digne de la propagande des dictateurs bouffons du communisme du siècle dernier. La tendance est toujours à la mode, les héritiers du socialisme ont rejoint la file des traitres à la nation, tous motivés par la cupidité et les pulsions du ventre.
 A l'image de Chakib Khellil et Ahmed Benbitour agents des Shylocks/FMI/Banque Mondiale, et Shell/Philips Petroleum, candidats à l'oscar des renégats qui s'inscrivent sur une liste qui s'allonge au fur et à mesure que l'histoire dévoile ses dessous et que l'on observe leurs méfaits, leurs manœuvres de diversion, leurs associations suspectes, leurs intérêts crapuleux.  
Le pillage organisé des biens publiques s'effectue en réalité à travers les réseaux de "chers frères" infiltrés dans les moindres rouages de l'état, tous réunis dans les associations maçonniques "caritatives", telles les plus en vue Rotary/LyonsClub. 
Un autre cas est celui de l'enfant prodigue Rafik de la banque Khalifa.  Les complices de ses malversations se situent dans le cercle de cette nébuleuse satanique pratiquant un culte luciférien  qui étend ses tentacules sur la planète.
Certainement et naturellement à la justice de la nouvelle Babylone, le Royaume Uni.  La magistrature du pays des Rothschild est une "blanchisserie qui lave plus blanc". 
Les tribunaux sont le théâtre d'une mise en scène publique pour flouer l'opinion. Elle a pour but d'amortir les peines des fripouilles et même d'accorder l'immunité aux affiliés du culte. La cour de Westminster n'est-elle pas entrain de freiner toute les procédures d'extradition, en élaborant des prétextes juridiques pour protéger l'escroc ? Pas un quelconque escroc, mais le  fils d'un ancien ministre du sérail socialiste de la clique "Boukharrouba". 
Les média arabes-sionistes lui réservent des reportages spéciaux spécieux car en présumant son innocence,  en redorant son blason, et en créant la zizanie pour détourner les regards accusateurs vers d'autres cibles imaginaires, ils dénigrent les revendications légitimes du peuple algérien qui réclame son dû et un châtiment du coupable . Les complices en Algérie s'ils existent, sont à dénicher dans le cercle Benflis, Premier Ministre au moment du scandale, qui avait accordé illégalement et secrètement des garanties aux banques étrangères créancières, et ceci en violation de la réglementation. 
-L'ancien Ministre de la Justice est un adepte de la FM et un gardien d'enceinte !
-La franc maçonnerie ne désigne-t-elle pas cette institution comme "son pilier et son bouclier" ? 
Remettons les pendules à l'heure :
Pourquoi spéculer sur l'avenir et occulter la réalité présente ?
En projetant des images d'une pénurie fictive d'hydrocarbures et en créant une situation de panique, les théoriciens auteurs de cette fraude souhaitent manipuler les émotions des gens pour les empêcher d'avoir une vision claire des réalités en cours. Des réalités qui, si elles venaient à être connues, provoqueraient une révolte contre le système en construction : celui de la dictature mondialiste juive maçonnique ! Durant les années de révolution socialiste le slogan favori de la propagande mensongère résidait dans les paradigmes " d'horizon 1970", " plans quinquennaux" et autres mirages/projets de société. Le transport vers l'avenir du regard du troupeau de moutons servait à occulter le présent, la réalité sur laquelle les tyrans gardaient une emprise sure pour accomplir leurs méfait principal : le pillage à outrance !  
Au sujet de l'avenir des jeunes générations les égoïstes prédateurs/serviteurs de Satan s'enfoutent ! Sauf peut être par calcul, lorsque l'avenir de leur progéniture est lié au destin collectif. Les universités, les hautes écoles, les professions libérales, la finance, la justice, sont modulées à leur convenance à travers des privilèges illicites et abusifs, des passe-droits clandestins, des mots et des signes de reconnaissance secrets. 
L'état dans l'état c'est eux ! 
Le fameux "système" que toutes les langues fourchues accablent en faisant allusion à la gouvernance en Algérie, c'est encore eux.
Réveillez-vous innocents citoyens ! L'Algérie n'est pas à l'abri des conspirations dénoncées sur le web par les observateurs/analystes engagés. Le Nouvel Ordre Mondial juif s'active à nous détruire, et à ses ordres ses agents/chevaux de Troie sont parmi nous !
Pour appréhender cette menace monumentale, commençons par ignorer les leurres "Hizb França", "Bâathistes",  "Francophiles", "Arabophiles", " Amazighs", "islamistes", et tous les épouvantails politiques ou idéologiques secondaires érigés par les média mercenaires pour nous brouiller la vue et nous détourner de la réalité. Ces courants politiques forment un seul bloc occulte, différent de celui dépeint par les journalistes. Le pouvoir réel est aux mains des "chers frères" que la présidence actuelle dérangent mais sur laquelle ils n'ont pas de prise et pas de moyen de rétorsion.
Pour illustrer cette affirmation, un événement significatif nous aidera à percevoir l'étendue de l'emprise de la FM sur le pays :
LE PRÉSIDENT INTERNATIONAL DE ROTARY, KALYAN BANERJEE : “Je suis venu en Algérie pour remettre les pendules à l’heure. L’objectif de ma visite, comme toutes les visites que j’effectue dans le monde, s’inscrit dans un cadre apolitique. Il faut savoir que c’est la première fois qu’un président international de Rotary visite l’Algérie et rencontre ses vis-à-vis pour évoquer les objectifs à tracer ensemble”.
Notez l'arrogance des propos de cet enfant de Satan qui débarque en territoire conquis. Les cupides rotariens qui ont vendu leur âme pour quelques friandises (les échanges) et les privilèges qu'offrent les réseaux internationaux; doivent se sentir tout petits devant leur chef qui débarque pour leur tirer l'oreille. Leur gestion des "affaires" des districts, des collectes d'argent et le manque assiduité aux "tenues" sont sujettes à des mesures disciplinaires. Vous imaginez-vous la situation dégradante dans laquelle ces félons ont sombré ? Tellement compromis dans leur intégrité, les traitres à la nation ne reçoivent aucuns égards; la situation des Harkis en France est présente à l'esprit et illustre parfaitement la manière dont les maitres traitent leurs esclaves/serviteurs. 
Un adorateur de vaches sacrées sans tact, ni le moindre respect des règles de l'hospitalité, se pavane devant ses sous fifres, des égarés qui se disent Musulmans, en brandissant sa cravache et en menaçant de mettre de l'ordre. De l'ordre dans quel désordre ?  
La jouissance terrestre a ses déconvenues.  Mais comment faire entendre à ces idiots utiles, dont certains se qualifient de   "penseurs", à l'intelligence certaine, mais qui gaspillent leur existence en rabâchant des utopies, du scientisme stérile, et des opinions religieuses douteuses dont l'adoration du "petit architecte"  est le dindon de la farce !
Leçon :
La mission des intellectuels/éducateurs est de dispenser, dans le cadre de leur service au pays, une éducation rationnelle servant la formation de citoyens qualifiés, avertis des enjeux réels, armés de perspicacité et de lucidité, vigilants devant l'ennemi.
Car la richesse du pays réside dans la formation de patriotes, gardiens de la justice et défenseurs de la vérité, jaloux de leur indépendance nationale, confiants en leurs valeurs et imperméables aux influences allochtones néfastes.
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(*) Pour souligner cette difformité intellectuelle de complaisance envers le despotisme et l'autocratie, notons que Mr Chitour a apparemment un penchant biaisé pour ce genre de personnage historique douteux, qu'il ménage, réservant ses attaques  au "système", entendre Bouteflika. La biographie de Boukharoba dévoilera les dessous de l'histoire d'Algérie que nombres d'historiens abordent enfin sans complaisance et sans la crainte de représailles.
                                                                                A suivre....

23 août 2011

Crise Économique Et Financière Mondiale. Les Manuels Scolaires Et Ceux Qui En Sont Instruits Sont Incompétents Et N'Offrent Aucuns Remèdes Parce Que Traitant D'Utopies Et Occultant La Réalité.

Introduction :
Dans un environnement économique international hostile la majorité des nations est confrontée à une multitude de problèmes insurmontables et se dirige vers une situation qui frôle l'apocalypse. Cet article n'a pas la prétention de présenter quelque savant traité d'économie, d'économie politique, ou de science financiaire, mais seulement de soulever des questions concrètes et relever des anomalies que tout néophyte moyennement intelligent est en mesure d'appréhender lorsque confronté au volume d'information que les média déversent continuellement sur les ondes, dans la presse, et sur le web. Entre rumeur et vérité, information et propagande il est souvent difficile de distinguer la nature du message transmis par les média, particulièrement lorsque l'intention qui motive sa source est d'influencer, de mystifier, de tromper, de gagner à sa cause, de manipuler, et d'orienter l'opinion. L'information véhicule trois types de données importantes destinées à l'opinion, l'un politique, le second économique et le troisième culturel, et souvent, une combinaison des trois. La diffusion des données possède son arsenal de techniques et d'outils pour moduler l'information en fonction de l'effet recherché et l'impact ciblé, durant un espace temps planifié, chaque étape exigeant un suivi professionnel adapté au besoin d'un agenda, s'étalant sur des années ou voir des décennies.  L'étudiant, le chercheur ou l'expert averti, soucieux de saisir l'aubaine offert par la libre circulation de l'information sur le web, devraient adopter l’approche méthodologique de révision des acquis éducationnels et culturels reçus des canaux officiels, de l'école et des média dominants.
La recherche sur le web de thèses multidisciplinaires "non-officielles", qualifiées péjorativement de "révisionnistes" ou "conspirationnistes", est révélatrice et documente un vaste champ de la connaissance authentique, non orientée.  Un document de base important pour débuter sur le thème de la perception des méthodes employées par le pouvoir occulte qui gère en aval et en amont les processus de contrôle de la pensée, des tendances sociales, de l'éducation, de l'information, des décisions politiques, et l'organisation des agents d'exécution des plans d'ingénierie sociale, est disponible Ici (traduction Fr) et Ici (version anglaise). Alternativement, une recherche dans Google de "Silent weapons for quiet wars" (Armes silencieuses pour des guerres tranquilles) est gratifiante.
Le contenu des débats qui se spécialisent dans l'analyse de la crise multi-sectorielle qui secoue les fondements de la société moderne en ce début du 3em millénaire, est majoritairement une transcription des théories qui souvent s'affrontent sans répit sur le plan intellectuel, des idées, et des avis, et qui s'avèrent stériles et impuissantes. Les discours des nombreux docteurs et professeurs reflètent les cursus de l'éducation qui leur ont été dispensés comme on charge les mules d'encombrants manuels et de travaux de chercheurs accumulés depuis des siècles, et ceci dans la confusion totale. Le "diviser pour régner" appliqué à ce domaine, celui de la pensée ajoute à l'égarement du gentile (non juif), victime du conditionnement exercé par les maitres de la fourberie, les suprématistes talmude qui œuvrent secrètement à l'instauration du Nouvel Ordre Mondial. Les causes et effets de la crise sont connus exclusivement par ses créateurs, les exécutants des "Protocoles des Sages de Sion". La source et l'origine de la crise sont dévoilées par les militants qui luttent contre le pouvoir tyrannique qui tient les reines des commandes des affaires mondiales, menant l'humanité vers le chaos, selon le plan énoncé dans les déclarations verbales et les écrits des protagonistes de ce complot satanique, le "Nouvel Ordre Mondial".
Les symptômes, économiques, sociaux, et politiques de ce phénomène sont depuis longtemps synthétisés dans la prophétie religieuse que toutes confessions dominantes  annoncent comme avènement de l'Ante-Christ ou Dajjal : guerres oppressives, injustice, famine, épidémies, déchéance morale, signes révélateurs de cette ère présageant malheur et affliction pour l'humanité. 
La cause et l'origine de l'adversité affectant l'humanité en ce 21em siècle, réside dans le détournement par une élite dominante raciste des pouvoirs de la majorité en vue de monopoliser toutes les décisions affectant son devenir, selon le plan dressé dans le document authentique des " Protocoles des Sages de Sion".  Les sources publiant un historique de ce manuel de la subversion juive sont innombrables, une d'entre elles retient l'attention, disponible au lien (Anglais).
L'auteur, G.B.Winrod écrit dans "The truth about the Protocols" (Lien):

«Sur les étagères du British Museum, à Londres, il y a un livre en langue russe, par Serge A. Nilus, appelé les Protocoles des Sages de Sion. Il contient vingt-quatre documents qui affirment révéler les rouages ​​d'un complot instigué par certains dirigeants juifs internationaux en vue d'asservir le monde à travers une dictature basée sur la puissance de l'or.» 
«Après la Bible, ce volume, traduit en plusieurs langues, est sans doute le livre le plus lu de l'Histoire. Le directeur de la bibliothèque m'a déclaré qu'il reçoit constamment des demandes à ce sujet de toutes les régions du monde. Son numéro de catalogue de la bibliothèque est C 37.C.31.»
«Nilus avait publié les Protocoles en 1905, bien qu'ils étaient déjà en sa possession depuis quatre ans . Il considérait comme un devoir patriotique et religieux de leurs donner la plus large diffusion possible. Depuis le début du siècle, jusqu'à cet instant, le complot divulgué dans ces documents a été accompli, étape par étape. En eux, nous constatons le le développement authentique de l'histoire économique et politique des nations. Si les protocoles étaient des faux, comme certains Juifs l'affirment, alors le paradoxe est que tout ce qu'ils énoncent est perceptible et se déroule devant nos yeux.»
Les "Protocoles" sont une déduction condensée du Talmud et des enseignements rabbinicaux, Edith Starr Miller (Lady  Queenborough, essayiste Anglaise ) écrit dans son "Occult Theocrasy " (Lien Ici ) :
«Les obligations et les règles du rite pour les masses juives sont contenues dans le Talmud et le Schulchan Aruk, mais les enseignements ésotériques pour les plus initiés se trouvent dans la Cabbale. » 
Ces précisions servent à démontrer, comme illustration des objectifs assignés aux "Protocoles", l'assertion que les événements se déroulant devant nos yeux concernant la crise financière et économique ne sont en aucune façon le fruit d'activités ordinaires de différents acteurs présents sur les marchés, régis par les lois et règles du libre échange des biens et services, ou de la compétitivité des facteurs de production présents dans les économies locales, régionales ou globales (internationales), ou autre  "interaction de l'offre et de la demande".  Les théories et ceux qui excellent dans leur utilisation,  pour "expliquer", "remédier", "guérir",  "résoudre", "réglementer", "surmonter", ou "parer aux dis-fonctionnements" de la crise se leurrent de concepts utopiques, d'illusions et de chimères, pour la simple raison que les modèles qu'ils exploitent sont détachés de la réalité.
«Là se trouvent les rites mystérieux des évocations, les indications et les clés de pratiques pour la conjuration des forces surnaturelles, la science des nombres, l'astrologie, etc...»
«L'application pratique des connaissances Cabalistes se manifeste dans l'usage qu'en ont faites, à travers les âges, les Juifs afin de gagner en influence à la fois dans les hautes sphères de la société des "Gentiles" et sur les masses. Souverains et papes, à la fois, avaient habituellement un ou plusieurs Juifs parmi leurs astrologues et leurs conseillers, et ils ont souvent donné contrôle aux Juifs, sur leur vie même, en les employant en tant que médecins. Le pouvoir politique a donc été acquis par les Juifs dans presque tous les pays des gentiles doublé de la puissance financière, puisque les tribunaux juifs et les banquiers
manipulaient les fonds publics et les taxes. »
«Avec son Conseil suprême, le B'nai B'rith, la tête dirigeante de la secte, et ses membres infiltrés parmi toutes les nations, est devenue le pouvoir dirigeant et souverain dans les conseils de toutes les nations et régie leurs programmes politiques, économiques, religieux et éducatifs.»
De ce mélange occulte d'ésotérisme et de prédation sociale "des armes silencieuses", la réalité qui apparait est tout autre que celle que nos experts financiers décrivent dans leur majestueux pédantesques ouvrages et analyses savantes. Comment d'une perception fictive, subjective et erronée, de la réalité, la multitude de docteurs et professeurs émérites (sic) peut-elle s'aventurer à dresser un diagnostique réel des aléas du monde actuel, voir proposer des remèdes au malaise dont souffre l'humanité ? Le mal n'étant pas correctement perçu, le diagnostique s'égare dans des "hypothèses", des "peut être", des "estimations", des "spéculations", et les solutions proposées aggravent la crise, ne la dissipent pas !
Le constat de la faillite et de l'aliénation de cette pompeuse intelligentsia est amplifié sous l'effet conjugué de la complicité de certains intellectuels corrompus et de ceux dont l'allégeance au NOM est scellée par le sermon maçonnique, le contrat moral liant nos "chers frères" à la maison-mère du mercenariat juif !    
Les "Protocoles" sans détour ni bagatelle :
«Nous allons créer par tous les moyens détournés possibles par nous et avec l'aide de l'or, qui est entièrement entre nos mains, une crise économique universelle par laquelle nous jetterons dans les rues, simultanément dans tous les pays de l'Europe, des hordes entières de travailleurs. Ces foules vont se précipiter joyeusement et verser le sang de ceux qui, dans la simplicité de leur ignorance, ont été jalousés dès leur berceau, et dont les biens ils seront alors en mesure de saisir comme butin ».
«Le notre (sang) ils ne toucheront pas, parce que le moment de l'attaque sera connu de nous seuls, et nous prendrons des mesures pour le protéger.» 
Le comble de l'ironie et du sarcasme dont se désaltèrent les instigateurs du "complot", les maudits "enfants de Satan",
doit découler du paradoxe démontré par le comportement révérenciel et les convictions respectueuses de la gente Goy (gentile) envers les armes brandies par leur ennemi, qui les convie à l'auto-flagellation et l'auto-destruction.  
Explication : L'arme absolue détenue par l'autorité suprême talmude, les banquiers, est l'usure. Après l'invention de la monnaie de singe, le numéraire en papier, que les planches à billets aux mains des Shylock, produisent inlassablement dans l'antre du diable (les banques nationales centrales, toutes privées !) la fraude monumentale prodiguée par les Rothschild fut celle du prêt avec intérêt. Le catalyseur de l'endettement des individus et des nations menant à l'asservissement et à l'esclavage, via l'intérêt, est l'astuce diabolique inventée par les Shylock, aujourd'hui banalisée, étudiée, utilisée, canonisée, et pour beaucoup, érigée en divinité omnipotente. Tous les économistes, financiers, politiciens l'arborent fatalement dans leurs discours comme un outil de gestion incontournable, au lieu de le dénoncer comme le venin qui détruit sociétés et individus. D'une perception insensée et illusoire de l'affliction usurière, il est dérisoire de tenter de guérir le malade, l'économie et la finance mondiale, du fléau de la pauvreté, de la misère, de la faillite et du désespoir.
La loi talmude interdisant au juif de vulgariser la connaissance ou d'enseigner un métier aux goyim, est la source du développement d'un corps de savoir utopique stérile destiné à entretenir la myopie et le manque de discernement parmi les "serfs" goyim et leurs élites bien pensantes, perroquets intellectuels qui réverbèrent les idées fallacieuses répandues par l’appareil de propagande des média dominants. Toutes les théories économiques en "isme", Marxisme, communisme, capitalisme, libéralisme, etc..., sont comme des os lancés à la féroce concurrence du chenil dont les bêtes s'entredéchirent violemment, pendant que les maitres de l'intrigue se distraient par les jeux de manipulation des marchés financiers en actionnant  les leviers des taux d'intérêt, des cours, de l'information économique, du délit d'initié, du déclenchement de conflits "qui rapportent", des rumeurs (média) qui confondent l'observateur, etc...Non contents de l'extorsion massive de la richesse des Goyim grâce à l'usure, les banquiers gèrent les casinos financiers (la bourse) où les dés sont pipés, et les actionnaires (les joueurs) délestés de leurs avoirs. Situation sur-réelle, amplifiées par la complicité tacite des experts qui fondent leurs recommandations sur le précepte de l'adoption de l'usure comme canon de la finance et dans lequel ils tentent d’exceller en l'introduisant dans leurs analyses et les leçons qu'ils dispensent aux décideurs politiques. 
Comme illustration de cet exercice de déroutement par des imposteurs affublées de titres universitaires ou professionnels délusoires, citant la campagne médiatique entourant la question de la gestion optimale des réserves en devises détenues par l'Algérie et qui est le juste sujet de préoccupations, dans le contexte actuel de crise financière internationale, airées dans la querelle des "bons de trésor US".  Jamais un tel débat n'aura occupé autant de commentateurs et rempli autant d'espace médiatique, même dans les plus profanes des chroniques. Mêmes les blogs-conciergeries habituellement versés dans la tchatche se sont mis de la partie.   
Dans cette mêlée de conseilleurs, non- payeurs, accourus de tous les horizons imaginables pour instruire gracieusement le gouvernement des décisions à prendre, un personnage se distingue par l'agitation médiatique qui  lui est accordée et la fréquence de ses déclarations publiques : Abderrahmane Hadj Nacer, ex-Directeur de la Banque Nationale d'Algérie. Trait frappant du personnage : l'effronterie de l'émissaire de l'abomination et son ignorance de la gravité de la transgression des lois divines condamnant l'usurerie. 
"Ceux qui se nourrissent de l'usure...."
El Watan, le valet de chambre des Rothschild, se gargarise des mérites de cet usurier au service des shylock, et vante ses œuvres littéraires qu'il range dans les traités de finance, d'économie et de politique. Le quotidien lui réserve une couverture extensive, répartie sur un millier d'articles, tous de tendance alarmiste. Ce qui doit nécessairement éveiller notre suspicion au vu du travail traditionnel de "harki de la presse", ou "traitre parmi nous". L'utilisation du terme "martingale" par l'auteur est révélatrice de l'accoutumance du personnage au système des paris des casinos (bourse et usure): en jeux de hasard «Coup consistant à doubler la mise qu'on a perdue au coup précédent. Jouer la martingale à la roulette.» Un lapsus de langage, ou un "chassez le naturel, il revient au galop" ?
Un bref aperçu de la biographie de notre banquier d'affaire nous éclairera plus amplement sur le rôle de ce transfuge de la BNA et il suffit de remarquer qu'il fait partie du clan des réformateurs mené par M.Hamrouche : A.Benbitour, Ghazi Hidouci, A.Brahimi, pour confirmer la double allégeance de ces aventuriers au service du mercenariat de la finance internationale Kosher ! Après le coup de poker réussi des FMI-Banque Mondiale durant la gestion de la faillite due à l'endettement des années '90, qui a vu l'Algérie être livrée à ses créanciers et soumise aux conditions drastiques des shylock qui exaspérèrent la crise politique en tentant de basculer le pays vers le chaos et sa destruction en tant qu'état souverain, tous les complices de la mutilation de notre indépendance nationale ont été gratifiés, et généreusement récompensés par des nominations à des postes de responsabilité au sein d'organismes contrôlés par l'oligarchie talmude rothschildienne ! Voir biographie de Hadj Nacer (Lien); celle de Benbitour a déjà été exposée précédemment (Lien article); Ghazi Hidouci change de camp et rejoint la BM; Brahimi est à Londres à la London School of Economics, le couvoir des utopies talmudes. Le comble est l'effronterie qui caractérise ces chevaux de Troie de la finance Kosher, ils s'érigent en donneurs de leçons et jurent par tous les saints leur dévouement à l'Algérie et à son peuple. Le verbiage de notre banquier d'affaire--«gouverneur de la Banque centrale d’Algérie, conseiller pour le monde musulman à la Banque Lazard Frères et Compagnie (*), dirigeant auprès d’autres entités comme la Société marseillaise de crédit ou Natexis-banque populaire, à Paris. Initiateur de la loi sur la monnaie et le crédit d’avril 1990 (la porte de la cité ouverte à la prédation des banques étrangères), il est à l’origine de la création d’établissements financiers privés à Alger. Il dirige aujourd’hui, un holding à Paris (HBC), et est partenaire fondateur d’une banque d’affaires à Tunis (IM Banque). Abderrahmane Hadj-Nacer est par ailleurs membre de groupes de réflexion internationaux. Ainsi, il est président du comité de parrainage politique et dirige, avec l’économiste Christian de Boissieu, le conseil scientifique de l’Ipemed (Institut de prospective économique du monde méditerranéen)», est édifiant dans la mesure où sa vision de l'Algérie est prophétique, pénétrant jusqu'aux moindres coulisses de la période Rustimide durant laquelle l'Algérie était Ibadite (Sic et qu'Allah nous protège d'une telle calamité, lorsqu'on sait le nombre nul = zéro des chouhadas mozabites morts pour la patrie !), mais il omet de nous révéler les anicroches de l'usure destructrice des nations. "Ceux qui consomment l'usure, ne sont-ils pas sanctionnés d'une déclaration de guerre d'Allah Qui les maudit ? " 
Une maxime résume l'analyse de cette opération de subversion médiatique qui cible l'opinion en la couvrant de mensonges et d'entourloupettes : "science sans conscience n'est que ruine de l'âme". 
Mr le Docteur es sciences financières, soignez vous de votre cécité morale et religieuse, sauvez votre âme pendant qu'il est peut être encore temps, les portes du repentir restent ouvertes ! Quand à nous, nous prions Allah Qu'Il nous garde de l'influence de ces rabatteurs de Satan qui nous convient au feu de l'Enfer.  
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(*) Nature de la compromission de notre banquier :
Note-wikipedia: « La banque a été fondée aux États-Unis en 1876 par trois banquiers juifs ashkénazes émigrés aux États-Unis depuis leur ville natale de Phalsbourg en Lorraine : Alexandre, Elie et Simon Lazard, bientôt associés à leur beau-frère Alexandre Weill.»
«La banque d'affaires a clos l'année 2007 sur un résultat net record de 155 millions de dollars, en hausse de 67 % par rapport à 2006. La banque a récemment recruté, comme directeur exécutif senior de sa division banque d'investissement, l'ancien directeur général du Fonds Monétaire International, Rodrigo Rato.»