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27 mars 2018

L'économie numérique ne peut être le moteur du développement, son rôle marginal se limite à accompagner et gérer l'économie réelle physique !

Dossier "économie numérique". (suite)
La fabrication des mirages, le "faire croire", est une spécialité du Nouvel Ordre Mondial. Une gigantesque machination est en cours, elle a trait à l'économie du numérique, une grenouille qui veut se faire boeuf ! Si cette approche était fiable, pourquoi l'Occident enregistre-t-il les statistiques de chômage et les crises successives ? Qu'il l'exploite le premier, démontre son efficacité ! Pas question, les USA se sont cassés les dents en s'y investissant entièrement !
Le "faire croire" mobilise nécessairement les média. Pour comprendre les intentions non déclarées, occultes, dissimulées derrière la façade embellie des campagnes de désinformation, il faut examiner le volume de couverture alloué à un évènement par les média.
Explication par l'exemple
1- "Partenariat Stratégique Global Sino-Algérien", un traité commerciale et économique capital pour l'avenir de l'Algérie qui s'attèle à la locomotive chinoise, moteur économique-scientifique-financier mondial en coordination avec  ses partenaires, la Russie et les membres du BRICS.  Elle permet l'intégration de notre économie dans la Nouvel Route de la soie  (grande ceinture russo-chinoise), un projet civilisationnel révolutionnaire planétaire, que l'Occident tente vainement de saborder.
Verdict des média : omerta, silence assourdissant. Presque pas d'analyse, aucune étude, et bien sûr aucune mention de son maitre d'oeuvre, le Président Bouteflika.
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2- conférence organisée par la Banque Mondiale sur l'économie numérique. Une platitude, une frivolité, concernant l'utilisation de l'internet pour certaines transactions et opérations bancaires. Une bulle d'air, un épouvantail virtuel, sans poids dans l'économie réelle, dite "physique", qui s'applique  à la production de biens divers (dont ceux de l'agriculture, de l'énergie renouvelable, de la transformation des matières premières).
Verdict des média : Un Lavigeriste accourt pour sauver l'Algérie,  en mission sous les auspices de la BM !  Les médias  complices jubilent  !
Campagne infernale, sur-dimensionnée, transformant ce défi purement technique en une opportunité unique pour assurer la croissance et le progrès ; tous les média le reprennent, le glorifient, le chantent. Cette agitation doit immédiatement  réveiller nos reflexes d'auto défense, appeler à la prudence et sonner l'alerte de nos sens et de notre pensée.
Le nom du directeur régional de la BM, Rabah Areski, est sur toutes les lèvres, en première page, magnifié, érigé en sauveur de l'Algérie ! SES PROMESSES SONT AU CONDITIONNEL, SPÉCULATIVES, ACCOMPAGNÉES DE "PEUT ÊTRE ET DE POURRAIT"! RIEN DE CONCRET QUE DES ILLUSIONS ! DU BARATIN MARKETING !
 Incroyable ! Inimaginable dans un pays qui se devrait se souvenir des années '90 et les sévices endurés par l'Algérie sous le diktat de la Banque et du FMI. Révisons l'Histoire, car elle tente de se répéter.
La nouvelle star de nos média, le sympathique Rabah Areski, décrit dans la littérature militante mondiale  comme un  "assassin économique" (Lien 1, Lien 2) ! Ne vous fiez pas la à tonalité algéro-kabyle de son patronyme, il est en Algérie uniquement pour servir ses patrons de la BM !
Et les intérêts de la BM sont acquises par tous les moyens, grâce à des méthodes prédatrices, impitoyables, sans foi ni loi, destructrices de nations entières, et très sophistiquées ! 
                                                                           À SUIVRE....

26 mars 2018

La vraie économie de croissance est physique, pas monétaire ou, selon son appendice, numérique.


Dossier : la vraie économie est physique, pas monétaire ou, selon son appendice, numérique. Une vague de désinformation est en cours, surdimensionnant l'outil numérique et lui accordant un rôle fictif trompeur.
Les lavigeristes sont partenaires/complices de la Banque Mondiale. Qui dit banque dit monétaire, rien d'autre ! Ni coopération, ni aide, ni soutien, ni humanisme !
Une intrigue est en élaboration: leurrer les jeunes et les impliquer massivement dans  "l'économie numérique" et leur secteur associé des services et la monnaie devenue virtuelle, incontrôlable ! Une théorie attractive en apparence mais en réalité euphémique. Les preuves dévoilant cette arnaque suivent plus loin dans le post.

1- Canal Algérie et sa journaliste vedette Souhila Hachemi reçoit Rabah ARESKI (directeur régional, Banque mondiale). La donzelle devenue célèbre pour sa tenue provocante face au Ministre des affaires Religieuse, indignité méritant un licenciement si ce n'était la complaisance complice de ses directeurs. Défiance et offense flagrantes de l'Islam et des Musulmans bien en ligne avec ses convictions doctrinales libertines lavigeristes. Notez les flatteries exagérées de ARESKI à nos jeunes, trop beau pour être vrai !

Vidéo/interview  : https://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=eOxfPUVBKos

2- L'objet (exercice de propagande) de l'interview : promouvoir "l'économie numérique". L'économie numérique n'est pas un moyen stimulateur à lui seul de la croissance économique et soutien moteur d'un plan de développement cohérent, efficace ! Les USA en ont fait l'amère expérience, et ils en paient le prix ! Leur situation économique et financière actuelle, leur perte de vitesse face à la Chine et la Russie, sont dues à un choix absurde, la "bulle internet" de l'année 2000 en est l'évidence.
La Chine, la Russie, les BRICS ont adopté les théories de Lyndon Larouche (Lien 1, Lien 2), d'où leur réussite !
Le développement du numérique est un OUTIL d'accompagnement de L'ÉCONOMIE PHYSIQUE ! L'économie physique (industrie, agriculture, transport) est le palier sine qua non du développement ! La Banque mondiale tente de nous en détourner et Canal Algérie est son agence de publicité. Cette entreprise signale une attaque frontale contre l'Algérie que j'espère est reconnue comme telle par nos responsables intègres.
 Sans production de biens et de produits physiques, le pays est destiné à demeurer un pays importateur, quel que soit son niveau des services, et bien sûr irréversiblement sombrer dans la faillite financière, dont nous avons un avant goût depuis 2016.
3- Un agriculteur qui produit 100 tonnes de pommes de terre est plus méritant que 100 informaticiens qui produiraient 100 logiciels ! Nos valeurs culturelles d'évaluation de la réalité ont été modelées et viciées. Depuis le socialisme, l'agriculture a été dépréciée, ses activités dévalorisées, ses exploitants criminalisé (révolution agraire et nationalisation) ! Les conséquences sont aujourd'hui perceptibles, il n'est pas nécessaire de les énumérer.
4- la transformation locale et l'exploitation efficace, de toutes les ressources naturelles, associées au développement de l'industrie est également une étape capitale de la croissance économique.
5- le transport et son infrastructure (train, ports, routes) est un autre secteur vital!

 Note : Encore une fois, les services accompagnent ces différents secteurs ! Ni l'inverse, ni séparément !
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L'économie physique : (Chine, Russie, Brics)
--- http://www.solidariteetprogres.org/blog/alors-vous-voulez-tout-savoir-sur/alors-vous-voulez-tout-savoir-sur-economie
--- http://www.solidariteetprogres.org/lyndon-larouche-9073.html
--- http://www.solidariteetprogres.org/blog/alors-vous-voulez-tout-savoir-sur/alors-vous-voulez-tout-savoir-sur-economie.html
--- http://www.solidariteetprogres.org/blog/alors-vous-voulez-tout-savoir-sur/avant-propos.html?parcours=13337

12 avr. 2017

LE MERS ( MINISTÈRE ENSEIGNEMENT SUP) PREND AU SÉRIEUX LE NUMÉRIQUE (sic).

Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique en poste dans ce secteur depuis des décennies attend 2017 pour aborder la question du numérique, et il en fait un projet "d'avenir ". Insouciant de l'urgence, négligeant son importance, sous-estimant le poids des enjeux, et adoptant une attitude désinvolte d'amuseur de foule face à ses interlocuteurs !
On aurait espérer plus de sérieux du mi-sinistre !
Notons le verbiage :"Le défi du numérique", est à la fois, il a expliqué, de «croiser nos expériences sur les problématiques partagées et d'identifier à travers les différentes tables rondes, les actions conjointes à mener pour comprendre les pratiques actuelles et de nous projeter dans le futur pour anticiper l'analyse et la maîtrise des plus grands enjeux de l'enseignement supérieur à l'ère du numérique».
En 30 ans d'activité de haut responsable de l'université, vous allez enfin tenter d'identifier, de comprendre, et de vous projeter vers l'avenir pour les enjeux, et bla bla bla...?  Vous voulez nous faire rire ? Nous n'en n'avons pas l'humeur, Mr le ministre, c'est plutôt l'envie de pleurer qui nous envahit.

Les 25 et 26 janvier 2017, Tahar Hadjar, ministre algérien de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, a effectué une visite de travail en France à l'invitation de son homologue française, Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche.
Entouré d’une délégation de recteurs des universités algériennes, le ministre a co-présidé les travaux de la 4ème conférence algéro-française de l'enseignement supérieur et de la recherche qui avait pour thème les défis du numérique. Le ministre a souligné que la place du numérique dans les universités est "plus que jamais une grande priorité actuelle de l'Algérie", notant que ce défi est "important" et "incontournable" afin de "faire face aux exigences de la modernisation de l'appropriation des outils et stratégies de pilotage de l'enseignement, de la recherche et de la gouvernance mais aussi et surtout pour faire face au défi de la massification". (globalisation ?).
  50 ans de gabegie  et l'enseignement supérieur demeure tributaire de la charité française. 
 Le flux Sud-Nord des diplômés algériens ne soulève aucune réaction, les autorités algériennes  béates s'en vantent et le citent comme performance méritoire . L'hémorragie meurtrière ne soulève aucune contestation ou étude pour y mettre fin, ce qui doit être interprété comme dû à une volonté prémédité de nuire au développement du pays. L'erreur de gestion ou une mauvaise appréciation de cette situation catastrophique sont à exclure.  On peut objectivement avancer l'accusation de sabotage, cet acte organisé ne pouvant provenir que d'un cercle occulte, présent dès l'indépendance dans les rouages de l'administration (universitaire en particulier), ce que j'appelle la judéo-maçonnerie-jésuiterie et dont j'expose amplement la présence dans une multitude d'articles.