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22 avr. 2019

À travers le "Hirak" ou "Printemps kharab", des juristes-magistrats-avocats participent au complot orchestré contre l'Algérie par le pouvoir mondial.

L'Algérie est contrôlée par un pouvoir d'essence occulte, de nature allogène, d'origine paris-sionniste  et de ses loges! Ce pouvoir prédateur s'est installé avec les premiers officiers de l'armée française franc maçons affairés dès le débarquement de l'armée française à la fondation de loges et au recrutement de nouveaus "chers frères". Ils ont eu deux siècles pour accomplir leur mission.
La Magistrature est part du vieux "système", elle remonte à 1962 ! Si une institution devait "dégager"  " c'est bien elle, avant toutes les autres.  C'est pour éviter la colère du peuple quelle lui apporte son soutien opportuniste et d'apparat, dans le but de le récupérer. 
Rappel historique : 
Elle est infiltrée par de faux moudjahidine, et parmi eux des ex-collaborateurs de la France, créateurs d'un réseau tentaculaire aux dimensions ahurissantes et aux agissements criminels monstrueux! Leurs enfants issus de nouvelles alliances tressées autour des colonels et généraux, de l'oligarchie, des partis politiques, ont été parachutés dans les rouages de l'État, la justice, l'ANP, les ministères, etc... Pour réconforter leur pouvoir et tenir en laisse le peuple, ils se sont appropriés des média. Les partis sont noyautés et souvent entièrement sous leur domination. 
Ne vous fiez pas aux apparences trompeuses, la mine bonhomme de ce juriste ! Ci dessus,un agent ennemi de ce peuple, mû  par l'égoisme, le mensonge,  la prédation, et impliqué dans l'intrigue  mondialiste. Cette caste de droit hommistes réunit des larbins dociles et obéissants à leur hiérarchie JMJ de Paris-Sion. 

Une branche de ce pouvoir que j'ai abrégé en JMJ, soit Judéo-Maçonnique-Jésuite, inclut  des lavigeristes agissant selon un agenda parallèle plus pernicieux de teneur doctrinale sous le parrainage exclusif des Jésuites (l'intrigant le plus puissant de la planète).

Bouteflika a subi leurs coups bas, souvent carrément de sabotage, de ses projets et de ses programmes de développement. Son entourage a sapé son travail ou l'a dévalué par la propagande mensongère. Entouré d'intrigants, savoir gouvernement, conseillers, administration, partis politiques, sa mission a été sans cesse l'objet d'attaques subtiles, de blocage, de détournement, de corruption. La seule réalisation incontestable est la modernisation de l'ANP et sa professionnalisation, un rempart contre l'offensive de déstabilisation orchestrée par l'ennemi dirigée saux ordres de la hiérarchie Paris-Sionniste du JMJ.
La situation actuelle de trouble régnant dans le pays n'est pas de  caractère politique, mais est le fruit d'une tentative de restauration du pouvoir absolu JMJ, que Bouteflika a affaibli. Le combat occupe le champ occulte-doctrinale-spirituel, et l'Algérie est ciblée par le Nouvel Ordre Mondial satanique, par ses armées d'adeptes et même de Djinns (*) ! 
(*)Voir vidéo : Le raqi Benhalima Abdarraouf expose ce phénomène de l'intervention du monde invisible dans les manifestations d'Algérie, dans une séance de captage. Libre à chacun d'en apprécier la pertinence, il est sûr que les esprits "rationnels" "cartésiens", des bien pensants acculturés par le scientisme railleront cette évidence. Tant pis pour eux !
 Mondialement recensée, la pénétration des agents des loges est particulièrement importante dans la justice, forteresse sans laquelle la franc-maçonnerie serait désarmée. Il n'y a pas l'ombre d'un soupçon que nos magistrats de l'Algérie française inévitablement s'y inscrivaient pour y être nommés. Dans ce qui doit être la révélation du siècle touchant l'Algérie post-indépendante, cette vérité est corroborée par Benyoucef Mellouk et les dossiers des magistrats faux moudjahidines ! Les conspirateurs utilisent ce moyen pour parer leur réputation d'une fausse respectabilité et détourner les regards de leurs méfaits, tout en en tirant des avantages pécuniaires. Du vrai pillage !

Le pouvoir judiciaire rejoint le Hirak ! Une fadaise ! Une arnaque ! 
Maître de l'art de la diversion et du camouflage son objectif est d'abord le blanchiment de ses robes noires, et de récupérer le Hirak en l'orientant selon ses propres intérêts, ultime et principal enjeu est le maintien de son pouvoir sans partage, pouvoir étroitement imbriqué dans celui du JMJ !
REMARQUE
 Article 07 accorde le pouvoir au peuple le statut de "source de tout pouvoir"! 
Nous devons en prendre possession et le renforcer en affirmant notre droit de contrôler TOUTES LES INSTITUTIONS DE L'ÉTAT, SANS EXCEPTION, SANS DÉROGATION SPÉCIALE, FUSSE AUX MAGISTRATS, FONCTIONNAIRES AU SERVICE DU CITOYEN , ET NON À CELUI DE LEUR CORPORATION !
LES AVOCATS SONT UN APPENDICE DE CE SYSTÈME OCCULTE, CE SONT DES ACTEURS ENGAGÉS POUR LA DÉFENSE DU SYSTÈME JUDICIAIRE, ILS EN TIRENT LES PRIVILÈGES, LES BÉNÉFICES, ET L'IMMUNITÉ !


20 avr. 2019

Menace à la souveraineté : en dénigrant l'auto financement (non conventionnel), les opposants prêchent tacitement le recours à la dette extérieure !

Un volet important des défis faisant face au pays est la gestion adéquate des finances de l'État. Dans ce domaine pas très visible à l'opinion se déroule des conflits qui dévoilent des intrigues qui menacent la stabilité du pays.
Le cas du financement des déficits budgétaires et sociaux (pensions) est symptomatique de conflits ouverts entre partisans d'une gestion saine des finances de l'auto financement (non conventionnel) et la sauvegarde de la souveraineté nationale, versus les partisans du recours aux banques étrangères et donc recours à la dette extérieure.
En souvenir de la faillite cauchemardesque des années '90, Bouteflika avait fixé le remboursement de la dette comme priorité dans son programme de politique économique et financière. Dès que les coffres furent renfloués, le remboursement anticipé fut immédiatement concrétisé, quoique difficilement négocié, libérant le pays des griffes des banksters.

Le programme de réajustement d'Ouyahia n'a fait que refléter les consignes de Bouteflika réitérant le refus au recours de la dette. Le financement non conventionnel fut planifié et réglementé avec l'aide de deux professeurs éminents Raouf Boucekkine et Nour Meddahi, qui en dressèrent les montants, les bénéficiaires par secteur, et les échéances. 


L'opposition au financement non conventionnel, péjorativement libellée "planche à billets", était basée sur des hypothèses discutables et des prévisions spéculatives non fondées, alors qu'il répondait à deux critères cohérents et judicieux, "créer sa propre monnaie" et "éviter la dette extérieure", un piège au fond duquel l'Algérie avait sombré et s'en était échappée miraculeusement. 

Cette opposition gravitait, et gravite toujours autour 
- d'anciens employés des organismes financiers FMI et  BM (Benbitour, Ali Benouari, etc...) et 
- des experts des gourous du management prêchant le libéralisme et l'économie de marché avec prépondérance du secteur privé (cercle de Rebrab, entrepreneurs affilés à l'ASPEN Institute et Napeo /USA, Smain Lalma. Nacera Haddad, Hind BenMiloud, etc..).

Répondant aux députés Ahmed Ouyahia  réfute TOUTES les accusations des économistes (aux ordres de l'opposition subversive),  il a affirmé que le financement non conventionnel 
« n’induira aucune hausse de l’inflation comme l’ont prédit certains experts » et que la courbe descendante de l’inflation, ces dernières années, poursuit-il : « 6,5% fin 2016, pour passer à 5,5% fin 2017 puis à 4,3% fin 2018, sont des chiffres qui viennent réfuter les prévisions d’ experts ayant prédit une inflation à quatre chiffres, en raison du recours au financement non conventionnel » a-t-il déclaré. En recourant à ce mécanisme, le niveau de la dette publique interne « a atteint 36% du PIB de l’Algérie, un chiffre appelé à baisser, au regard du recul progressif du déficit prévu dans le budget de l’État jusqu’en 2022 » a expliqué Ouyahia, qui souligne que «l’essentiel est que nous avons préservé la souveraineté de l’État sur la prise de décision économique , grâce au financement non conventionnel », avant de préciser que « nous aurions pu perdre notre souveraineté économique, si nous avions eu recours au FMI »

Acte de subversion :
L'ancien directeur de la Banque Nationale Loukal, promu ministre des finances par Bedoui (gouvernement de transition actuel) fait l'objet d'accusation de la part des économistes Raouf Boucekkine et Nour Meddahi, architectes du plan de financement non conventionnel (lire article au Lien !!) Les deux experts déclarent : 

«Monsieur Loukal inclut les dividendes de la BA dans le montant de la création monétaire, ce qui est une escroquerie doublée d’une contradiction. C’est une escroquerie car les dividendes sont des bénéfices que la BA doit verser à son actionnaire principal (l’Etat), et que c’est une opération classique de tout bilan comptable. Nous croyions naïvement que Monsieur Loukal avait fini par apprendre à lire un bilan après avoir dirigé la plus grande banque du pays pendant une quinzaine d’années…"

"Enfin, la nomination du Monsieur Loukal au poste de Ministre des Finances pour justement faire l’annonce de l’arrêt du programme de la planche à billets en clamant qu’il était contre la planche à billets, son document de ce mois-ci préparant le terrain à une telle annonce. Nous devons avouer qu’il est difficile de faire plus fourbe» ! Fourbe ? La définition n'est pas élogieuse, elle devrait lever une plainte de la part de Loukal pour diffamation  : "(Personne) qui emploie des ruses perfides, odieuses, pour tromper autrui, souvent en vue de servir ses propres intérêts."

Conclusion :
Il y a eu à mon avis un sabotage du programme du financement non-conventionnel d'ailleurs dénigré et calomnié dès le début par une campagne en apparence propagandiste, diffusant l'appellation "planche à billets ", péjorative parce que réservée à la création de monnaie destinée à la consommation. Or Ouyahia précisa qu'en grande partie "le financement serait destiné à l'investissement/infrastructure", et ce qui fut le cas en constatant le bilan chiffré du programme.
Remarque : pour s'attaquer à Bouteflika l'État profond s'est engagé dans un sabotage des finances du pays au risque de le couler littéralement, tout en préparant l'option "recours extérieur" qui risque de pointer le nez si la situation de confusion politique se poursuit .

18 avr. 2019

Offensive contre le financement non conventionnel ! Mensonges! Conditionnement de l'opinion au recours à la dette extérieure ! Trahison au profit des banksters.



LE FINANCEMENT NON CONVENTIONNEL EST LE PLUS JUDICIEUX, ÉCONOMIQUEMENT LE PLUS ORTHODOXE chez les économistes non affilés à l'école du libéralisme prédateur monté de toute pièce par les banquiers Kosher.  
Des plans néfastes aux intérêts économiques et financiers du pays sont l'objet d'une propagande pernicieuse lancée par les média lavigeristes, les sbires et membres des cercles JMJ-Rebrab et des prétendus oracles du management, parmi lesquels le plus en vue  est Smain Lalmas.
La Banque d'Algérie publie un rapport équivoque carrément incohérent, qualifiant le financement non conventionnel  de "planche à billets" ! Une appellation fausse et péjorative qui occulte la vérité, car le financement était destiné majoritairement à l'investissement, PAS À LA CONSOMMATION.
Le bilan de cette opération le confirme :  Lien .
Pas de recours à l'endettement extérieur !
Le Recours à l'auto-financement  EST UNE NÉCESSITÉ CONTOURNANT LE PIÈGE DE LA DETTE (AU PRÈS DES BANKSTERS), UN PRINCIPE QUE BOUTEFLIKA AVAIT RÉITÉRÉ MAINTES FOIS CAR GARANT DE LA SOUVERAINETÉ NATIONALE.
 Ali Benouari l'homme des banquiers déballe une série de non sens, du verbiage économique, rien d'établi comme vérité absolue, seulement des théories  et le plus grave contourne la signification du financement non conventionnel, rien d'étonnant de ce cancre qui doit sa réputation grâce à la complaisance des Banksters qu'il servit si généreusement en 1990 dans le cadre du ré-échelonnement qu'il géra en tant que ministre des finances. (1991 - 1992 : Ministre au Trésor, gouvernement Ghozali I3 et gouvernement Ghozali II )



Incompétence ? Non ! Sabotage donc trahison !
Boucekkine et Meddahi, maitres d'oeuvre du plan de financement non conventionnel répondent à Loukal, ex-directeur de la Banque d'Algérie promu par son copain Bedoui en ministre des finances :
"Ils ont indiqué que M.  Loukal, ancien Gouverneur de la Banque d’Algérie et actuel ministre des Finances, a procédé au financement monétaire à très grande échelle, 6.556 mds de DA (55 milliards de dollars), soit 32% du PIB en dix-sept mois, montant très largement au-dessus de ce que nous avons recommandé, soit 2.550 mds DA à fin 2019."

- Loukal a donc dépassé le plafond fixé de 2.550 Milliards, bien avant son terme fin-2019.
- Pour qu'elle raison ? 
- Pour saboter les objectifs fixés, générer des retombées négatives (pas encore enregistrées, dit-on) et ensuite se retourner contre le choix du non conventionnel. Ce choix /stratégie étant, je le répète, une option capitale, inévitable, défendue et préconisée par Bouteflika après avoir assaini la situation catastrophique héritée en 1999.  Elle est également défendue par tous les économistes de la planète, il faut préciser... ceux qui en militants sont engagés contre le système usurier bancaire mondial profitant aux Rothschild, ses fondateurs /inventeurs.

Conclusion : Des deux options, financement non-conventionnel ou recours à la dette extérieure, l'Algérie a opté pour la 1ere, la plus judicieuse, ce qui déplaît aux Banksters et à ses sous fifres lavigeristes dont les méia sont mobilisés pour conditionner l'opinion à accepter le recours aux Banksters.




5 nov. 2017

Nouvelle offensive médiatique d'intox: El-Watan porte parole des intérêts des usuriers

 
 
 
 
 
 
Une offensive d'intox sans précédent , contre l'Algérie et son économie, est lancée par la 5em colonne l-a-v-i-g-e-r-i-s-t-e, agents et porte paroles des 
b-a-n-k-s-t-e-r-s ! Cette campagne de guerre psychologique vise à "faire croire " que le financement propre /interne est un choix "catastrophique " et qu'il faut au contraire recourir à la dette extérieure (banques R-o-t-h-s-c-h-i-l-d )!
Pour illustration : 
El-Watan !
Trahison et subversion à ciel ouvert ! Quand va-t-il être jugé comme tel et traité par les tribunaux pour grave infraction des règles déontologiques élémentaires, la diffusion de l'intox ! 
 
Il faut rappeler, que le quotidien est financé depuis sa création par BnP P-a-r-i-b-a-s (R-o-t-h-s-c-h-i-l-d). Ce média mercenaire des banquiers publie un article mensonger sur la nature du financement non conventionnel, qu'il assimile malicieusement à "la planche à billet" : ceci est faux, ce financement est opéré en créant de comptes bancaires (monnaie scripturale, électronique) ! Et les crédits qui en résultent sont destinés à l'investissement, pas à la consommation !
El-watan promotionne les intérêts des banques étrangères (FMI) qui eux préconisent l'endettement externe (la dette meurtrière) !